L’accident du travail est un événement soudain survenu à une date certaine. Il s’agit donc d’un événement précis et localisé dans le temps. Dès lors, un salarié doit-il être payé en intégralité si ce dernier est victime d’un accident du travail à l’occasion de sa prise de poste ?
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Catégorie : Paie (Page 1 of 3)
À compter du 1er janvier 2025 le plafond annuel de la Sécurité sociale sera fixé à 47 100 €. Le plafond mensuel s’élèvera à 3 925 €.
Ce plafond correspond au montant maximum des rémunérations ou gains à prendre en compte pour le calcul de certaines de vos cotisations. Il sert également de référence pour la définition de l’assiette de certaines contributions et le calcul des droits sociaux.
Un arrêté sera publié d’ici la fin de l’année.
Entrée en vigueur le 1er novembre 2024, la hausse du SMIC impacte bien plus que le pouvoir d’achat des salariés. Elle modifie des paramètres clés dans les calculs de montants de dispositifs sociaux et fiscaux, tels que les indemnités journalières de Sécurité sociale (IJSS), les taux réduits de cotisations patronales et les seuils d’exonération d’impôt pour les apprentis et stagiaires. Une évolution qui mérite toute l’attention des employeurs.
Article publié sur helloworkplace.fr
Dans un arrêt du 19 juin 2024, la Cour de cassation a rappelé que la période du ou des CDD devait être « déduite de la période d’essai éventuellement prévue dans le nouveau contrat de travail », comme le stipule l’article L 1243-11 du Code du travail.
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Article publié sur beaboss.fr
Six salariés sur dix ont le sentiment de survivre plutôt que de vivre, selon un sondage d’Opinion Way pour May. La quasi-totalité d’entre eux (96%) demandent des actions concrètes aux entreprises pour les soutenir financièrement, comme l’avance sur salaire et les avantages salariaux. Ces avantages sont même cruciaux pour le pouvoir d’achat 87% des personnes interrogées. Cependant, près de la moitié des salariés (49%) n’est pas satisfaite des avantages salariaux proposés par son entreprise. Surtout dans les PME.
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Article publié sur lesechos.fr
Les Français seraient de plus en plus nombreux à ne plus faire de l’argent un sujet tabou. 54 % des salariés se disent à l’aise pour parler rémunération avec leurs collègues, contre… 17 % en 2019, selon une récente enquête menée par le site consacré à l’emploi Hellowork. Une autre étude de YouGov pour PageGroup montre que sept salariés sur dix sont prêts à demander le salaire médian de leurs collègues. Lire l’article |
En 2025, les salariés du privé profiteront d’augmentations de salaire moyennes comprises entre 1,5% et 2%. Mais certains secteurs proposeront des revalorisations plus importantes.
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Pendant la période estivale, la maladie peut toucher un salarié au cours de ses congés payés. Mais alors, dans une telle circonstance, à quoi ce dernier pourrait-il prétendre ? Maladie pendant les congés payés : aucun report possible selon le Code du travail Si l’on s’en tient aux dispositions du Code du travail ainsi qu’aux décisions rendues par la Cour de cassation jusqu’à présent, la maladie d’un salarié, lorsqu’elle survient durant ses congés payés, n’ouvre aucun droit à report, à prolongation ou à indemnisation. Il s’agit, en d’autres termes, d’un évènement qui ne produit aucun effet sur le cours des congés payés. Deux cas de figures peuvent ainsi se présenter à l’issue de cette période : – si le salarié est rétabli : il doit reprendre le travail à la date prévue ; – si la maladie perdure : il reprendra le travail au terme de son arrêt maladie. Rappel Dans ce dernier cas, le salarié doit transmettre à l’employeur le volet n° 3 de l’avis d’arrêt de travail prescrit par son médecin traitant. À défaut, il commet une faute pouvant constituer une cause réelle et sérieuse de licenciement. En revanche, il se peut que l’employeur ou des dispositions conventionnelles permettent au salarié de prolonger ou de reporter ses congés pour une durée équivalente à sa maladie voire de bénéficier d’une indemnité compensatrice. Il est donc essentiel de s’y reporter. Bon à savoir Cependant, si le salarié tombe malade avant la date fixée pour son départ en congés payés, il est considéré comme étant en arrêt de travail pour maladie. Son départ en congés sera reporté automatiquement et il pourra demander à bénéficier ultérieurement de ses jours de congés. |